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DIRECTION ARTISTIQUE/SCÉNOGRAPHIE

FILM de danse " Les ombres du pêché"

Création des décors 

"LES OMBRES DU PÉCHÉ"

A partir de Nuit, création de Jean-Claude Wolf, il s'agit ici de réaliser un film de danse chorégraphiée par Christine Bastin et réalisé par Camille Guichard.

Ici, nous sommes immergés dans les enlacements et les dialogues de deux corps qui se plient sous l'autorité du désir.

La scénographie est pensée comme un espace qui transpire les émotions des corps rythmés par les jeux d'ombres et de lumières, enveloppés des rythmes lourds de la composition musicale et de la voix..

Les objets, sculptés en métal sont  les prolongements des corps amplifiés par des jeux de miroir déformants qui accentuent les états d'âme des danseurs.

l'ensemble est volontairement statique et figé pour révéler les corps et accompagner les mouvements de caméra.

L'orchestre, qui joue une partition originale de Jean-Claude Wolff, est inclus dans le décor comme le témoin immobile et pétrifié du déchirement entre les deux personnages.

"LES OMBRES DU PÉCHÉ"

Réalisateur : Camille Guichard

Compositeur de la partition: Jean-Claude Wolff

Chorégraphie: Christine Bastin

Production : terra Luna

Lieu de Tournage : Paris

PRIX : Mention spécial danse au FIFA de l’Unesco

A partir de Nuit, création de Jean-Claude Wolf, création d'une pièce courte chorégraphiée par Christine Bastin dont le film est réalisé par Camille Guichard.

Les enlacements, les gestes qui forcent le corps de l'autre et le plient sous l'autorité du désir, donnent l'occasion au réalisateur de s'attarder sur la plastique et la présence crue de Pascal Allio, blond énigmatique au regard transparent. L'orchestre, qui joue une partition originale de Jean-Claude Wolff, est inclus dans le décor comme le témoin immobile et pétrifié du déchirement entre les deux personnages.

Les enlacements, les gestes qui forcent le corps de l'autre et le plient sous l'autorité du désir, donnent l'occasion au réalisateur de s'attarder sur la plastique et la présence crue de Pascal Allio, blond énigmatique au regard transparent. L'orchestre, qui joue une partition originale de Jean-Claude Wolff, est inclus dans le décor comme le témoin immobile et pétrifié du déchirement entre les deux personnages.

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